Auteur : Christelle Dabos
Éditeur : Gallimard
Éditeur : Gallimard
Parution : 29 octobre 2015
Pages : 550
Genre : Fantasy, Jeunesse
Age : à partir de 13 ans
Pages : 550
Genre : Fantasy, Jeunesse
Age : à partir de 13 ans
Synopsis
Fraîchement promue vice-conteuse, Ophélie découvre à ses dépens les haines et les complots qui couvent sous les plafonds dorés de la Citacielle. Dans cette situation toujours plus périlleuse, peut-elle seulement compter sur Thorn, son énigmatique fiancé ? Et que signifient les mystérieuses disparitions de personnalités influentes à la cour ?
Ophélie se retrouve impliquée malgré elle dans une enquête qui l'entraînera au-delà des illusions du Pôle, au cœur d'une redoutable vérité.
Mon avis
Si vous n'avez pas lu le tome 1, passez votre chemin au risque d'être spoiler et allez donc faire un tour ici.
Après s'être cachée de la cour, Ophélie fait enfin son entrée officielle dans le monde "huppé" de la Citacielle. On commence le tome 2 avec la rencontre entre Ophélie et l'esprit de famille Farouk afin de pouvoir obtenir sa protection.
Si le tome 1 était excellent, le tome 2 l'est encore plus. Après avoir fini le livre, la seule chose que j'arrivais à dire c'est "oh mon dieu, ce livre est génial ! il me faut la suite !!!". J'étais totalement imprégnée par l'histoire, le suspense et les personnages grandioses que j'ai pu rencontrer durant ma lecture.
Quelle joie de retrouver Ophélie dans ce tome 2, obligée de rester cachée dans le tome 1, cette fois-ci, elle est officiellement présentée à la cour et s'expose plus encore aux dangers, parce qu'être la fiancée de l'intendant n'est pas une place sûre. Plus aux faits des mœurs, du protocole et surtout des complots de la cour, notre jeune animiste nous revient plus mature, moins naïve et plus déterminée à s'imposer et ne plus être un objet dans les mains de son fiancé et de sa tante. J'aime la façon dont elle évolue, Christelle Dabos a su faire grandir son héroïne.
On retrouve aussi notre taciturne Thorn dont je me désolais de ne pas assez voir sa frimousse dans le tome 1 et qui revient régulièrement dans ce tome-ci. On en apprends plus sur son passé ainsi que sur sa famille déchue "les chroniqueurs" et c'est un réel plaisir !
Il est toujours aussi déroutant pour Ophélie comme pour nous d'ailleurs avec ses froncements de sourcils, ses paroles... Et confirme sa place dans nos petits cœurs... enfin dans le mien en tout cas.
On retrouve les autres personnages qu'on a aimé découvrir dans le tome 1 même s'ils sont moins présents comme Bérénilde ou la marraine d'Ophélie mais tout aussi attachants. Archibald reste pour moi mon personnage préféré de cette saga par son humour et sa désinvolture.
On découvre aussi de nouveaux personnages ainsi que des personnages secondaires qui s'affirment dans ce second tome. Comme à chaque fois l'auteur nous a dépeint des caractères ou des physiques haut en couleurs ! Malgré la multitude de monde qui gravite autour d'Ophélie, aucun ne se ressemble et c'est là où le génie imaginatif de Christelle Dabos est en oeuvre.
Autre personnage emblématique du tome 2, il s'agit de Farouk, esprit de famille du pôle. Seulement évoqué dans le tome 1, il fait son apparition officielle dans l'intrigue du tome 2. Contrairement à Artémis qui ne se mélange pas avec ses descendants ou très peu, Farouk ne se déplace qu'entouré de sa cour qui répond au moindre de ses caprices. Divinité énigmatique, imprévisible et donc dangereux il est sujet à une perte de mémoire constante. Sa seule obsession c'est son livre que personne n'arrive à lire pas même lui....
Les passages entre Ophélie et lui sont intéressants car on ne sait jamais dans quel état d'esprit Farouk sera et donc l'issue de l'entrevue est incertaine.
Au niveau de l'univers, là où dans le tome 1 on restait essentiellement dans la Citacielle, dans le tome 2 on a un élargissement du périmètre de mouvement d'Ophélie. En effet on sort de la Citacielle et du monde de la cour pour découvrir l'arche du pôle, et ses grands espaces enneigés. Il y a un contraste fort entre le monde artificiel et rempli d'illusions de la Citacielle et le monde brut et naturel du pôle.
On entre aussi dans une phase plus mystique avec les origines de la création des arches et l'histoire des esprits de famille. On en apprends un peu plus sur le pourquoi de la présence de ces esprits de famille, par le biais de "brides" de souvenirs appartenant à Farouk qui coupent le récit. Ces petits indices nous expliquent mais surtout nous donnent l'eau à la bouche sur les mystères de ce qui a provoqué la déchirure.
Christelle Dabos a su intégré parfaitement l'intrigue sur les disparus avec les questionnements que l'on se pose sur les origines des esprits de familles. J'avoue avoir été surprise lors de la révélation, je ne m'attendais pas à ce dénouement là.
On finit sur un suspense oppressant et beaucoup de questions, j'ai beaucoup d’hypothèses qui fourmillent dans ma tête. J'espère avoir des réponses dans le tome 3, en attendant l'attente va être insoutenable !
Après s'être cachée de la cour, Ophélie fait enfin son entrée officielle dans le monde "huppé" de la Citacielle. On commence le tome 2 avec la rencontre entre Ophélie et l'esprit de famille Farouk afin de pouvoir obtenir sa protection.
Si le tome 1 était excellent, le tome 2 l'est encore plus. Après avoir fini le livre, la seule chose que j'arrivais à dire c'est "oh mon dieu, ce livre est génial ! il me faut la suite !!!". J'étais totalement imprégnée par l'histoire, le suspense et les personnages grandioses que j'ai pu rencontrer durant ma lecture.
Quelle joie de retrouver Ophélie dans ce tome 2, obligée de rester cachée dans le tome 1, cette fois-ci, elle est officiellement présentée à la cour et s'expose plus encore aux dangers, parce qu'être la fiancée de l'intendant n'est pas une place sûre. Plus aux faits des mœurs, du protocole et surtout des complots de la cour, notre jeune animiste nous revient plus mature, moins naïve et plus déterminée à s'imposer et ne plus être un objet dans les mains de son fiancé et de sa tante. J'aime la façon dont elle évolue, Christelle Dabos a su faire grandir son héroïne.
On retrouve aussi notre taciturne Thorn dont je me désolais de ne pas assez voir sa frimousse dans le tome 1 et qui revient régulièrement dans ce tome-ci. On en apprends plus sur son passé ainsi que sur sa famille déchue "les chroniqueurs" et c'est un réel plaisir !
Il est toujours aussi déroutant pour Ophélie comme pour nous d'ailleurs avec ses froncements de sourcils, ses paroles... Et confirme sa place dans nos petits cœurs... enfin dans le mien en tout cas.
On retrouve les autres personnages qu'on a aimé découvrir dans le tome 1 même s'ils sont moins présents comme Bérénilde ou la marraine d'Ophélie mais tout aussi attachants. Archibald reste pour moi mon personnage préféré de cette saga par son humour et sa désinvolture.
On découvre aussi de nouveaux personnages ainsi que des personnages secondaires qui s'affirment dans ce second tome. Comme à chaque fois l'auteur nous a dépeint des caractères ou des physiques haut en couleurs ! Malgré la multitude de monde qui gravite autour d'Ophélie, aucun ne se ressemble et c'est là où le génie imaginatif de Christelle Dabos est en oeuvre.
Autre personnage emblématique du tome 2, il s'agit de Farouk, esprit de famille du pôle. Seulement évoqué dans le tome 1, il fait son apparition officielle dans l'intrigue du tome 2. Contrairement à Artémis qui ne se mélange pas avec ses descendants ou très peu, Farouk ne se déplace qu'entouré de sa cour qui répond au moindre de ses caprices. Divinité énigmatique, imprévisible et donc dangereux il est sujet à une perte de mémoire constante. Sa seule obsession c'est son livre que personne n'arrive à lire pas même lui....
Les passages entre Ophélie et lui sont intéressants car on ne sait jamais dans quel état d'esprit Farouk sera et donc l'issue de l'entrevue est incertaine.
Au niveau de l'univers, là où dans le tome 1 on restait essentiellement dans la Citacielle, dans le tome 2 on a un élargissement du périmètre de mouvement d'Ophélie. En effet on sort de la Citacielle et du monde de la cour pour découvrir l'arche du pôle, et ses grands espaces enneigés. Il y a un contraste fort entre le monde artificiel et rempli d'illusions de la Citacielle et le monde brut et naturel du pôle.
On entre aussi dans une phase plus mystique avec les origines de la création des arches et l'histoire des esprits de famille. On en apprends un peu plus sur le pourquoi de la présence de ces esprits de famille, par le biais de "brides" de souvenirs appartenant à Farouk qui coupent le récit. Ces petits indices nous expliquent mais surtout nous donnent l'eau à la bouche sur les mystères de ce qui a provoqué la déchirure.
Christelle Dabos a su intégré parfaitement l'intrigue sur les disparus avec les questionnements que l'on se pose sur les origines des esprits de familles. J'avoue avoir été surprise lors de la révélation, je ne m'attendais pas à ce dénouement là.
On finit sur un suspense oppressant et beaucoup de questions, j'ai beaucoup d’hypothèses qui fourmillent dans ma tête. J'espère avoir des réponses dans le tome 3, en attendant l'attente va être insoutenable !
Coucou !
RépondreSupprimerJ'ai parcouru ta critique en survolant le résumé, vu que je n'ai pas encore lu le premier tome (mais ça ne saurait tarder !!!). Je suis conente de lire que le deuxième tome est tout aussi bien, je vais me lancer alors ... Mais je vois que tu mets "à partir de 13 ans" ? je ne savais pas que ce roman était écrit pour les ados si jeunes, tu le ressens dans ta lecture ? ce n'est pas un défaut ?
Christelle (Libertymaman !)
Alors j'ai mis à partir de 13 ans c'est juste approximatif, j'ai mis 13 ans parce qu'il n'y a pas de violence, ni de scènes choquantes mais sinon l'écriture ne fait pas "ado" c'est très bien écrit
Supprimerun coup de coeur pour moi aussi :)
RépondreSupprimerTa chronique est très intéressante ! J'ai beaucoup aimé le deuxième tome, et je l'ai même préféré et j'aime beaucoup Archibald :) Moi aussi j'ai fais ma chronique : http://journalacoeurouvert.blogspot.fr/2016/04/la-passe-miroir-t2-les-disparus-du_87.html
RépondreSupprimerBisous, Mélanie